Pendants mes années d’école primaire à Dijon, une fois par mois, j’allais manger dans un restaurent avec mon père. Ce n’était pas un moment agréable. Je me devais me donner à lui dans un certain jeux. Il venait me chercher à l’école. Dans la voiture qui nous conduisait là où il avait choisi, je devais avoir en tête que j’étais avec l’homme que j’aimais le plus au monde. Car c’était vrai puisque qu’il saupoudré ses attentes de « moi » qui l’obligeait. Il externalisait toujours la responsabilité de ses actes sur moi ou ma mère. Ma mère l’obligeait à ce qu’il la frappe. J’allais donc, selon ses propres terme au resto avec mon amoureux. Dans la voiture il ajouté que si j’étais sage, j’aurais ce que je voulais. Je pouvais être parfaitement désobéissante mais cela me faisait plus mal mais ne changeait rien au chose. J’étais frappé en plus. Le jour n’était pas choisi par hasard, c’était concordant avec l’agenda de ma mère. Tout était planifié. Je détestais ces repas. Il m’annoncé une soirée compliqué.
C’était un de ses rituels. L’entourage de mon père me trouvais chanceuse, j’étais éduqué au goût, à la gastronomie. Je souriais.