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IronAnne

#InkTober – Sauvage

 Ce texte est écrit par une personne présentant entre autre une dyslexique et dysorthographiques. La forte charge émotionnelle de cette écriture aggrave l’expression des troubles dys* de ce fait orthographe, grammaire et syntaxe sont affectées par l’exercice testimonial ici partagé.

Il est volontaire de ne pas faire corriger les textes. Les troubles dys sont des handicaps. Et oui, parfois … c’est difficiles à lire. Mais cela n’invalide pas le propos. Merci de (re)lire la notice dys*.

En octobre, il y a InkTober. Le principe est un dessin par jours dans la thématique. J’ai vu sur groupe dédié aux écrivaines, autrices en herbe tenue par la propriétaire d’une maison d’édition canadienne,  l’idée de faire un InkTober de l’écriture en version francophone. J’ai donc décidé de le faire sur mon blog à l’encre virtuel. J’en ai parlé sur mon profil personnel et mon amie, ma sœur de cœur Tayiam a choisi de le faire elle aussi son blog Mémoire Filante.

Le billet sera aussi court qu’hier. Ce soir, j’avais le plan de rentre chez moi, je faire mon analyse selon la question du développement psychomoteur de mon travail et puis de blogguer. Et puis mon amie, ma sœur de cœur Tayiam m’a demandé si on pouvait se causer au téléphone. J’avais essayé de la joindre plutôt dans la journée alors oui. Et puis depuis un long moment, chaque jeudi on se parlait… mais avec mes cours qui sont passé à jeudi, il manque quelque chose dans ma semaine. Mais qu’elle est le rapport avec le billet ?

Elle, comme d’autre, on bien compris ma nature sauvage. Oh non pas la sauvage avec connotation érotique-séductrice. Mais dans la nature de l’animal sauvage. Je semble à certains bien sociable, mais en réalité, je me sens en marge. Et c’est « ok ». Cela à toujours été comme ça pour moi. Mais le tissage de lien relève de la rencontre entre le petit prince et le renard.

Je suis difficile à apprivoiser. Faire confiance ? vraiment !? On ne me la fait pas à moi : les trahisons, les coups de traitre, les agressions… je sais comment peuvent être les humains. Je me méfie. Mais une fois que le lien est là. Même 20 ans sans un moment, mon amitié reste là sauf cas rare (bref, avoir cheminé vers un truc qui touche à mes valeurs éthiques*). Quand je suis amie, mon engagement relationnel est au long court. Sauvage évoque cette nature qui est mienne m’apprivoiser et puis le lien est là.

Parfois des amis me manque, un en particulier. Oh pas que je veille faire les 400 coups avec lui, juste savoir comment va sa vie, s’il a suivi un chemin qui le remplis de joie. Il a 40 contacts sur Facebook, dont moi… mais mon MP est resté lettre morte. Ce n’est pas grave.

Je constate que j’aime mes ami-e-s. Je leur dis. Parce qu’une fois apprivoiser, c’est qu’on a su fait naitre quelque chose d’affectif. L’attachement qu’induit l’apprivoisement me rend consciente de ça.

Voilà, a demain !

*ce sujet mérite un billet à lui tout seul

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