Il y a un calme de la mer calme, le son des vagues dans leur
clapotis doux.
Il y a la brume matinale qui nous rappel qu’il y a un espace entre le sommeil et
veille.
Il y a le soleil qui fait table rase des ténèbres.
J’aurais pu sombrer dans l’angoisse, la folie, l’angoisse.
Et, c’est beaucoup plus paisible que ne l’espérais.
Les tempêtes ne sont que ce qui précède le calme.
C’était une bonne journée.IL y aura d’autre bonnes journées.
Aucun charbon ne consume mes pieds.
Il y a la translucide espérance.
J’ai traversé ce lundi et j’ai constaté que la fatigue s’éloigné, que le précipice s’est exilé de ma route. Oh bien sûr, j’ai encore peur, et j’aurais encore peur mais aucune hydre ne va bondir.
Constater qu’on avance, qu’on guéri et que c’est solide.
C’est ce que cette journée m’a offert. La résilience est présente et j’ai trouver ma ressource. Je n’écris pas pour analyse, c’est un espace secondaire que la réflexion analytique. J’écris pour sortir la poussière ténébreuse du noir obscure de mon existence.
J’ai survécu, je survivrais.
« Et toi, je sais, et je n’ai pas peur. »