Souvent, quand je partage des choses ici, c’est pensé, élaboré, réfléchis. Mais je n’ai pas encore le sens de ce que je traverse actuellement. J’évoqué avec une amie ce qui était dure pour l’instant. Je lui parlais depuis le confort de mon bain, de puis mon refuge, mon espace de sécurité. Et là, quelque chose à basculé. J’ai commencé à bafouiller, à trébucher dans mes idées, à perdre la route de mes pensée.
L’eau était devenue piquante. Je n’ai pas compris comment. Mais là, d’un coup, ma peau à commencé à piqué, mon torse était comme transpercé par des milliers d’aiguilles. J’étais là, balbutiante, essayant de m’accrocher à l’idée de ce que je disais dans mon message audio mais j’étais perdue.
L’écrire me rend nerveuse.
J’ai eu l’impression que l’eau remplissait mes poumons, qu’elle venant s’infiltré dans toutes mes alvéole pulmonaire.
J’étais perdu.
Surtout, j’étais toute, toute, toute petite. Je n’avais plus mon corps d’adulte. J’étais toute minuscule.
Il me faudra encore du temps pour comprendre et rejoindre le souvenir en question.