Sport de combat, le paradoxe
Mes parents ne sont pas un, deux ou 12 millions de paradoxes prêts. À deux reprises, ils m’ont inscrit dans des sport dit « de combat ».
Mes parents ne sont pas un, deux ou 12 millions de paradoxes prêts. À deux reprises, ils m’ont inscrit dans des sport dit « de combat ».
Je ne sais plus l’âge que j’avais mais j’étais encore en primaire et je vivais à Brazey-en-Plaine. Je crois que c’était entre la primaire et
Le titre donne envie, un voyage. Un voyage loin de la maison. C’est une promesse, un vœu exquis. C’est une sucrerie qui efface les cauchemars.
Fontaine-lès-Dijon – Novembre 1998 […] Je ne sais pas ce qu’il a compris, mais il a compris quelque chose. Nous sommes partis de mon lycée.
Fontaine-lès-Dijon – Novembre 1998 Le retour des vacances a été violent, comme je l’évoque dans les deux textes sur cet été dans le flou P1
1998 – Fontaine-lès-Dijon J’ai ouvert la porte de l’appartement. Il raisonnait de l’absence de bruit… Comme d’habitude, j’ai fermé à clef la porte d’entrée en
1998 – Fontaine-lès-Dijon C’est l’été qui a suivi le décès de mémé Marie. C’était un été compliqué scolairement pour moi. Je ne savais pas vers
En toute chose traumatique, un prix sonnant, trébuchant sans ligne de crédit tombe sur ta vie. Tu adorerais en sortir sans être une bras cassée
Fontaine-lès-Dijon – 16/17 ans Quand j’étais en seconde, mon père était au chômage. J’allais dans ce lycée qui était à quelques minutes à pied de
À Brazey, je faisais du vélo comme un poisson tourne dans un bocal. Je roulais sans but dans mon quartier. Je n’osais pas aller trop
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